
Dernier pari en date après son épisode The Good , The Bad & The Queen et avant le nouvel album de Gorillaz ou de Blur : un opéra chinois, dessiné par Jamie Hewlett, reprenant une des histoires de la philosophie bouddhiste, intitulé Monkey : Journey To The West.
À 15h sous la tente du Monkey’s World, le spectacle commence. Et attention : c’est un chef d’orchestre qui donne le La. L’écran s’allume, un dessin animé commence. Et là première frayeur « non mais je n’ai pas payé pour voir un film » … Frayeur de courte durée car au milieu de la première scène, l’écran disparaît pour laisser place … à une féerie chinoise et musicale.
Nous voilà donc en compagnie d’un singe arrogant, d’un cochon, et d’un melting-pot de personnages qui apportent au spectacle des univers différents devenant indispensables tout au long des scènes.
Pour parler de musique, tout sonne asiatique et il est marrant de constater que le son « Albarn », très présent dans Gorillaz est plus que reconnaissable. Ne nous mentons pas, sans ça il est clair que la salle se serait déjà endormie !
Malgré le chinois des paroles, la force de la musique nous fait vraiment voyager tout comme les acteurs, les danses (on sent que Kamel n’est pas derrière tout ça), les décors et les couleurs. C’est une harmonie que nous avons sur les yeux. Seul bémol : l’entracte de 20 minutes en plein milieu qui, qu’on se le dise, surprend mais n’empêche pas de se remettre dans le bain à la reprise.
Deux heures plus tard, nos amis arrivent enfin à l’Ouest, endroit où l’on se retrouve aussi avec la claque qu’on vient de se prendre. Car pour parler franchement, le spectacle nous fait oublier nos horribles souvenirs causés par le Cirque de Pékin et ses péripéties d’assiettes. On sort en fredonnant Heavenly Peach Banquet, oubliant que l’on se trouve dans le nouveau temple capitaliste anglais : l’O2 Arena.
Donc peu importe ce qu’on pense de lui, qu’on soit pro-Oasis ou pro-Blur, rendons à César ce qui lui revient : Damon Albarn est doué.
Tidusyl
À 15h sous la tente du Monkey’s World, le spectacle commence. Et attention : c’est un chef d’orchestre qui donne le La. L’écran s’allume, un dessin animé commence. Et là première frayeur « non mais je n’ai pas payé pour voir un film » … Frayeur de courte durée car au milieu de la première scène, l’écran disparaît pour laisser place … à une féerie chinoise et musicale.
Nous voilà donc en compagnie d’un singe arrogant, d’un cochon, et d’un melting-pot de personnages qui apportent au spectacle des univers différents devenant indispensables tout au long des scènes.
Pour parler de musique, tout sonne asiatique et il est marrant de constater que le son « Albarn », très présent dans Gorillaz est plus que reconnaissable. Ne nous mentons pas, sans ça il est clair que la salle se serait déjà endormie !
Malgré le chinois des paroles, la force de la musique nous fait vraiment voyager tout comme les acteurs, les danses (on sent que Kamel n’est pas derrière tout ça), les décors et les couleurs. C’est une harmonie que nous avons sur les yeux. Seul bémol : l’entracte de 20 minutes en plein milieu qui, qu’on se le dise, surprend mais n’empêche pas de se remettre dans le bain à la reprise.
Deux heures plus tard, nos amis arrivent enfin à l’Ouest, endroit où l’on se retrouve aussi avec la claque qu’on vient de se prendre. Car pour parler franchement, le spectacle nous fait oublier nos horribles souvenirs causés par le Cirque de Pékin et ses péripéties d’assiettes. On sort en fredonnant Heavenly Peach Banquet, oubliant que l’on se trouve dans le nouveau temple capitaliste anglais : l’O2 Arena.
Donc peu importe ce qu’on pense de lui, qu’on soit pro-Oasis ou pro-Blur, rendons à César ce qui lui revient : Damon Albarn est doué.
Tidusyl
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire